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Mathieu HAREL-VIVIER

Pratique artistique

La pierre aux échanges 2019

C’est le fait personnel qu’il s’agit ici de considérer — un grand-père qui a vécu en Nouvelle-Calédonie de 1949 à 1962, travaillé sur différents sites miniers et vécu en tribu — comme un fait éminemment politique pour tisser des liens avec les expériences vécues des années plus tard sur place à la recherche d’images en accord avec ses récits et photographies. Contribuant à l’édification d’un tissu social, la coutume kanake est, contrairement à l’emploi français, définie comme suit : « la coutume ne se possède pas, elle se fait, elle se présente, se prononce ou se dépose de sorte que chaque geste, chaque mot constitue une coutume, c’est-à-dire un acte d’échange cérémoniel. »

Réalisation : HAREL Guillaume